BR Le Raincy la Bagheera Jaune
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Major tonton
Claude FELIX
Site : http://claude.felix.livres.free.fr

2016   |    Claude FELIX Livres    |    Tel : 03.25.92.99.60   |     Email : lemajor.tonton@orange.fr     |  
Grace aux réseaux sociaux, je viens de retrouver un ami de 45 ans, perdu de vue comme dirait « Pradel », en effet dans la Gendarmerie il en est souvent ainsi, alors ainsi soit-il avec Michel, notre première unité de recherches et avec ses retrouvailles encore plein de souvenirs et de belles affaires comme l'on dit dans le jargon « flic ». Les raconter un peu lège pour faire un livre, mais juste la taille de présenter mes bouquins. Depuis quelques années jai relaté les faits marquant de mes carrières dans quatre livres, je pensais avoir fait le tour, mais comme le commun des mortels j'en avais oublié. Alors la lecture de celui-là vous donnera un aperçu des histoires qui sont relatées dans les autres, des affaires judiciaires et des enquêtes de Détective privé, ma  Deuxième vie sous forme de polars
(*) En parlant d’assistante sociale, ce souvenir que j’ai déjà relaté dans ce matin là,

Je me souviens de cette jeune femme blonde, maquillée limite, emmitouflée dans son manteau de fourrure qui venait d’entrer dans notre bureau, je crois que Jean Guy n’a pas pris le temps de faire le tour du sien, je n’ignorais pas qu’il aimait parler aux femmes avec les mains mais là, la paire de gifles fût phénoménale. Deux jours avant, suite à une information anonyme sur un évadé qui se cacherait dans une cabane de jardin, nous avions investi les lieux. Une cabane en planches le toit en tôles, une porte fermée par un cadenas, bizarre s’il est dedans comment a-t-il fermé  Nous allions mettre en place une surveillance, mais des gazouillements d’enfants nous interpellèrent, un coup de ceinturon et le cadenas n’a pas fait long feu et là, l’horreur, un matelas mousse, grignoté, recouvert partiellement  d’excréments, posé sur une porte qui faisait juste la largeur de la cabane, allongée sur deux tréteaux et dessus deux bambins pratiquement nus. Je me souviens que le médecin venu les visiter au bureau, avait disputé nos épouses, elles avaient cru bien faire en donnant des viennoiseries à ces enfants affamés et si maigres. L’enquête de voisinage n’avait pas encore permis de couvrir leur identité alors lorsque cette « mère » à franchie notre porte en nous traitons de voleurs d’enfants Jean Guy fit le geste qu’il n’a jamais regretté et pour lequel ; il n’y a jamais eu de plainte de déposée
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