T'as pas tout dit le "Voyageur" du DER
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Major tonton
Claude FELIX
Lors de la lecture de « ce matin-là » bien que prévenu qu’il ne s’agissait pas de récits d’enquêtes certains auraient souhaité en savoir plus sur la phase investigations. Mais le thème était les moments forts et ils étaient nombreux. Le « Voyageur » de Montier en Der.* Mais il ne faut pas rester sur sa faim.
Plus qu'un Roman, le récit d'une Vie
PREFACE
               
La rue Saint Denis à Paris est  bien plus réputée pour ses «»les portes que pour son café, c’est pourtant là que j’ai trouvé un moulin à café qui valait de l’or. Plus d’un millimètre de poudre rose sur sa paroi. Une réserve, de quoi fournir un héroïnomane pendant une semaine. De la «», de l’héroïne rose.
Au cours des années 80, 1980, bien sûr, la drogue commençait à arriver dans nos campagnes et Saint Dizier n’était pas épargnée, Gendarme à la Brigade de Recherches de Gendarmerie de cette ville, sur instructions d’un Magistrat, avec quelques collègues, nous sommes montés enquêter dans la capitale. 
Un dealer local avait été placé sur écoutes téléphoniques et nous avions identifié sont fournisseur; mais le problème de Paris était: où s’installer?
C’est là que j’ai rencontré Claude FELIX, il était Commandant de la Brigade de Villeneuve la Garenne 92. Une installation spécifique pour les écoutes que nous voulions suivre en direct, et pour la logistique, grâce à son sens des relations publiques.  En particulier le Directeur du petit hôpital local, nous avions récupéré des chambres du personnel de service qui ne les utilisait pas.
Des filatures, des surveillances et les interpellations, «» un chien de la Police Parisienne, qui nous a beaucoup aidé, 220 grammes d’héroïne rose en cailloux et le moulin saisis rue Saint Denis. Notre  hiérarchie n’en croyait pas ses yeux. Nous avons dû, dès le lendemain, récupérer les petits morceaux que nos officiers avaient empruntés pour «à leurs enfants» le scellé avait diminué de moitié. Si la curiosité est  une qualité pour un gendarme, elle n’en reste pas moins un vilain défaut.
C’était l’époque où nous quittions la tenue, pour investiguer en civil, avec une autorisation spéciale, il est vrai que souvent nous l’avions. Ou pas!!! Je me souviens de cette brigade atypique, il y avait des enquêteurs venant des quatre coins de France et un interprète «» qui passait sa vie près des appareils d’écoutes.
Je croise de temps en temps le Major Félix, Les aléas de la vie nous ont fait nous retrouver à la retraite. Nous parlons de nos souvenirs communs. Il n’avait rien d’un «».
Lors de l’écriture de ce livre j’ai appris que nous avions eu une autre «» commune ««» du Der. Il s’agissait d’un «» sédentarisé surnommé «singe». Ce personnage singulier logeait dans une caravane sur la commune de PERTHES (52). Petite commune située au nord de la Haute marne et limitrophe avec la Marne. Le campement à cette époque était très bien situé sur deux départements avec des accès limités sur des terrains vagues et sauvages. Des caravanes éparpillées dans la nature. Bien situé pour les habitants, mais pas pour les forces de l’ordre qui pour procéder à des interpellations devaient faire part de beaucoup de malice.
Je ne sais pas pour quelles  raisons cet individu était surnommé «singe». Tout ce que je peux dire c’est qu’il était malin comme un singe, tatoué des pieds à la tête et courant comme un lapin. Je me souviens d’une interpellation musclée qui a duré plusieurs heures car notre singe avait fait la malle et nous l’avions récupéré dans un étang endroit dans lequel il a plongé sans hésiter pour s’y dissimuler. C’était au mois de janvier et brrr… il faisait très froid.
Mais laissons notre  major  vous narrer la suite de cette affaire …….
                       
                                                                               Eric  Toniolo

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Lors de la lecture de « ce matin-là » bien que prévenu qu’il ne s’agissait pas de récits d’enquêtes certains auraient souhaité en savoir plus sur la phase investigations. Mais le thème était les moments forts et ils étaient nombreux. Le « Voyageur » de Montier en Der.* Mais il ne faut pas rester sur sa faim, alors le Major est repassé au clavier et devant son écran XXXXL, il raconte deux ans aux trousses de gangs de gens du « voyage » mais aussi du monde de la brocante, des antiquaires, et même d’un notaire. Une filière de Montier en Der aux USA. Puis « l’Autopsie d’une fière - Une fin en soie » qui sont des « Romans » bien évidements la fiction rejoint le souvenir et non seulement on s’y croirait, mais elles sont plus vraies que vraies sur le principe.
Site : http://claude.felix.livres.free.fr

2016   |    Claude FELIX Livres    |    Tel : 03.25.92.99.60   |     Email : lemajor.tonton@orange.fr     |  
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