Le Crime de Parnolles
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Major tonton
Claude FELIX
En 1793, une bande de bandits de grands chemins attaque une ferme a Joncreuil les témoignage de l’époque retrouvés en Mairie ont permis de refaire l’enquêté. Le chef des brigands n'était autre que le fameux Grisson condamné pour avoir promené la tête de la Comtesse de Dombasle au bout d’un pique dans Paris
Vers  900 (Sous le règne de Charles le Simple)
                                            
Joncreuil, petit village situé au nord-est du département de l’Aube, dans une contrée argileuse, marécageuse, sans autres revenus que de pauvres pacages. Son origine remonte avant l’an mille et portait le nom de Jonquerium. Il doit son nom au règne végétal des «joncs » ou «joncus », qui recouvraient une grande partie de son territoire, parmi les forêts à cette époque.
                                                                                                 
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Ce n’est plus de la chance.

« Sous le signe de la terreur, Hélène qui pouvait avoir alors douze ans, jouant à la
cachette avec d'autres petites filles dans un grenier, l'une d'elles se cacha dans un tonneau rempli de blé; une autre trouve dans un autre tonneau des miches de pain. Tout cela était destiné à être distribué à des pauvres familles par mon arrière-grand-mère, qui le faisait la nuit, car tout cela était défendu par le Comité de Salut Public. Ces petites filles ont bien vite raconté dans leur famille qu'il y avait du blé et du pain chez Hélène. Et voilà mon arrière-grand-père Laurent traduit devant le tribunal révolutionnaire, comme accapareur. Jugé et condamné à mort. Toute la population proteste et pétitionne. Rien n'y fait, et lorsqu'on le conduit à Arcis-sur-Aube où doit avoir lieu l'exécution, il est accompagné des habitants de Chavanges, car jusqu'alors j'ai omis de dire que c'était la résidence de la famille Laurent. En arrivant à Arcis, on a appris la mort de Robespierre. Il n'y avait pas de télégraphe à cette époque, sans cela ils ne seraient pas venus jusqu'au pied de l'échafaud. Et c'est ainsi qu'il eut la vie sauve »
Ce récit a été découvert dans les archives utilisées pour l’élaboration du récit Joncreuil-le crime de Parnolles
Et le comble c’est que l’épouse de ce personnage ne serait autre qu’une rescapée de la tuerie de Parnolles ;
Un couple qui échappe à la mort a quelques mois d’intervalles, avouez que ce n’est pas banale.
Le livre édité par l’asclocher Joncreuil, est en vente à la maison de la presse de Chavanges.

Site : http://claude.felix.livres.free.fr

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